« Une ville noire et laide, peuplée de crétins aux goitres pendants », semble s’offrir aux voyageurs de passage à Sion au 18e siècle. Le dictionnaire raisonné d’Alembert définit les crétins comme « une espèce d’hommes que l’on retrouve en grand nombre en Valais et surtout à Sion ». Les pharmacies sédunoises proposent ainsi différents remèdes contre l’augmentation difforme du volume de la glande thyroïde. Mais il faut attendre l’introduction du sel iodé en Valais en 1924 pour voir disparaître ce fléau. Le cliché « Crétins des Alpes » par contre, célèbre insulte du capitaine Haddock également, reste ancré dans les esprits jusqu’à nos jours.
„Eine düstere, hässliche und von Schwachsinnigen mit herabhängendem Kropf besiedelte Stadt“ scheint sich den Reisenden im 18. Jahrhundert in Sion geboten zu haben. Die wissenschaftliche Enzyklopädie Alemberts definiert die Kretinen als „eine Menschenart, die im Wallis und insbesondere in Sitten gehäuft vorkommt“. Die Sittener Apotheken bieten daher unterschiedliche Wundermittel gegen die monströse Zunahme des Schilddrüsenvolumens feil. Erst mit der Einführung von Jodsalz im Wallis im Jahr 1924 konnte man der Krankheit allmählich Herr werden. Das Klischee des „Crétins des Alpes“ hingegen, das durch die Fluchtiraden des Kapitän Haddock bekannt geworden ist, bleibt bis heute in den Köpfen der Menschen verankert.
Travellers passing though Sion in the 18th century seemed to view the city as « black and ugly, full of idiots with dangling goitres». Alembert’s Reasoned Dictionary gave a definition of idiots as « a sort of man found in large numbers in Valais and especially in Sion ». Sion’s pharmacies provided various remedies for the growing volume of thyroid gland. But it was only after iodized salt had been introduced in Valais in 1924 that the problem was eradicated. However, the cliché of « Idiots of the Alps », which was also a famous Captain Haddock’s insult, has remained engrained in people’s minds to the present day.
« Una città nera e brutta, popolata da cretini e persone con i gozzi pendenti », sembra essere ciò che veniva offerto ai viaggiatori di passaggio a Sion nel 18esimo secolo. Il dizionario ragionato di d’Alembert definisce i cretini come « una specie di uomini che si trovano in gran numero in Vallese e soprattutto a Sion». Le farmacie di Sion proponevano vari rimedi contro l’aumento sproporzionato del volume della ghiandola tiroide. Ma fu solo con l’introduzione del sale iodato nel 1924 che questo flagello scomparve. Il cliché « Cretini delle Alpi » invece, celebre insulto del capitano Haddock, resta tutt’oggi ancorato nella mente della gente.
La première locomotive arrive à Sion le 5 mai 1860, accueillie par une foule émerveillée par ce spectacle d’un genre nouveau. Les travaux de la ligne du Simplon, reliant alors le port du Bouveret à la capitale, continuent ainsi leur lente progression entamée par la Compagnie de la Ligne d’Italie. La gare n’est encore qu’un simple baraquement en bois. Il faut attendre 1873 pour la construction d’une « gare convenable » par la compagnie Jura-Simplon. L’arrivée du chemin de fer accroît le transport des marchandises et des voyageurs, modifiant peu à peu la composition de la population sédunoise. Il favorisera aussi l’implantation d’un quartier industriel tout autour de la gare.
Eine staunende und vom ungewohnten Spektakel begeisterte Menschenmenge erwartet am 5. Mai 1860 das Eintreffen der ersten Lokomotive in Sitten. Die Arbeiten an der Simplonlinie, die von der Eisenbahngesellschaft «Ligne d’Italie» begonnen wurde und den Hafen von Le Bouveret mit der Hauptstadt verbindet, kommen langsam voran. Das erste Bahnhofgebäude besteht aus einem einfachen Holzschuppen. Erst 1873 erstellt die Jura-Simplon Bahngesellschaft ein Bahnhofgebäude. Mit dem Bau der Eisenbahn nimmt der Güter- und Personenverkehr zu und verändert nach und nach die Bevölkerungsstruktur. Er begünstigt ebenfalls die Ansiedelung eines Industriequartiers rund um den Bahnhof.
The first locomotive arrived in Sion on 5 May 1860 and was welcomed by the crowd amazed by the show of a new kind. The works on the Simplon line connecting the Bouveret port to the capital city, initiated by Italian Railway Company, continued their slow but steady progress. The railway station of that time was a simple wooden shelter. It was only in 1873 that an « acceptable railway station » was built by Jura-Simplon Company. The arrival of the railway increased the transport of goods and the number of passengers, gradually changing the composition of Sion’s population. It would also facilitate the establishment of a new industrial district around the railway station.
La prima locomotiva arriva a Sion il 5 maggio 1860, accolta da una folla meravigliata da questo nuovo tipo di spettacolo. I lavori della linea del Sempione che collegano il porto di Bouveret con la capitale, continuano il lento avanzamento iniziato dalla “Compagnie de la Ligne d’Italie”. La stazione è ancora una semplice baracca in legno. Bisognerà aspettare il 1873 per la costruzione di una “stazione adeguata” da parte della “Compagnie Jura-Simplon”. L’arrivo della rete ferroviaria permette di aumentare il trasporto di merci e di viaggiatori, modificando così gradualmente la composizione della popolazione di Sion. Inoltre incoraggia anche lo sviluppo di una zona industriale lungo la stazione.
Le premier essai d’éclairage public électrique à Sion a lieu en mars 1884 à la Grenette. Amenés à remplacer les réverbères à gaz, une douzaine de lampadaires de huit mètres de haut sont déjà installés une dizaine d’années plus tard. Ce n’est qu’en 1896 que l’éclairage public se démocratise dans les rues du Grand-Pont, de Lausanne et du Rhône suite à la construction de l’usine électrique de Marius Dumont à Bramois et de son réseau de fils électriques à travers Sion.
Der erste Test zur Elektrifizierung der Straßenbeleuchtung von Sitten fand im März 1884 bei der ehemaligen Markthalle „La Grenette“ statt. Bereits zehn Jahre später ersetzte ein Dutzend acht Meter hohe Straßenlaternen die ersten Gaslaternen. Zur Generalisierung der öffentlichen Beleuchtung auf dem Grand-Pont, in der Rue de Lausanne und der Rue du Rhône kommt es jedoch erst 1896 nach dem Bau des Wasserkraftwerkes von Marius Dumont und der Installation seiner Stromversorgung in den Strassen Sittens.
The first test of electric street lighting in Sion took place in March 1884 at La Grenette. Around twelve eight-metre-high streetlights were installed some ten years later to replace gas-fueled streetlights. It was not until 1896 that street lighting became more popular in the streets of Le Grand-Pont, Lausanne and du Rhône following the construction of Marius Dumont’s power factory in Bramois and its network of electric wires through Sion.
Le premier essai d’éclairage public électrique à Sion a lieu en mars 1884 à la Grenette. Amenés à remplacer les réverbères à gaz, une douzaine de lampadaires de huit mètres de haut sont déjà installés une dizaine d’années plus tard. Ce n’est qu’en 1896 que l’éclairage public se démocratise dans les rues du Grand-Pont, de Lausanne et du Rhône suite à la construction de l’usine électrique de Marius Dumont à Bramois et de son réseau de fils électriques à travers Sion.
L’hôtel de la Poste aurait été le premier établissement à installer des baignoires, dès 1897, peu de temps après l’introduction de l’eau à tous les étages et dépendances. Jusqu’à la fin du 19ème siècle, les habitations sédunoises n’étaient pas encore pourvues de canalisations d’eau. Les premières salles de bain apparaissent d’abord dans les hôtels et foyers de l’élite bourgeoise. A la rue de Conthey, la maison Elsig, construite entre 1913 et 1915, est l’un des rares exemples de privés ayant fait installer un système sanitaire moderne à cette époque.
Im Hotel de la Poste wurden wohl ab 1897 die ersten Badewannen installiert, kurz nachdem alle Etagen und Nebengebäude mit fliessendem Wasser ausgestattet waren. Erst nach Ende des 19. Jahrhunderts waren die Häuser der Stadt Sitten an eine zentrale Wasserversorgung angeschlossen. Die ersten Badezimmer treten in Hotels und Wohnhäusern der bürgerlichen Elite auf. Das zwischen 1913 und 1915 erbaute Haus der Familie Elsig an der Rue de Conthey ist eines der wenigen Privathäuser, in denen zu dieser Zeit bereits moderne sanitäre Anlagen eingerichtet wurden.
The Hôtel de la Poste was probably the first establishment to install bathtubs, starting in 1897 – shortly after water was piped into all its storeys and annexes. Until the end of the 19th century, houses in Sion still had no water pipes. The first bathrooms appeared in hotels and the homes of the bourgeois elite. The Elsig house on rue de Conthey, built between 1913 and 1915, has one of the few examples of a privately installed sanitation system that was modern in its day.
L’hôtel de la Poste aurait été le premier établissement à installer des baignoires, dès 1897, peu de temps après l’introduction de l’eau à tous les étages et dépendances. Jusqu’à la fin du 19ème siècle, les habitations sédunoises n’étaient pas encore pourvues de canalisations d’eau. Les premières salles de bain apparaissent d’abord dans les hôtels et foyers de l’élite bourgeoise. A la rue de Conthey, la maison Elsig, construite entre 1913 et 1915, est l’un des rares exemples de privés ayant fait installer un système sanitaire moderne à cette époque.
Pionnier du vol en ballon, Eduard Spelterini (1852-1931), né Eduard Schweizer, s’est fait connaître mondialement avec sa première traversée des Alpes au départ de Sion. A l’aube du 3 octobre 1898, sur une place de la Planta remplie de badauds ébahis, un « lâchez tout » voit l’aérostat « WEGA » s’élever dans les airs. Le ballon d’un jaune doré, retenu au sol par plus de cent cinquante sacs de sable, parcourra 232 km et atteindra l’altitude maximale de 6300 m. D’une qualité exceptionnelle, les photographies de l’aérostier prises lors de ses vols permettent pour la première fois aux hommes de voir la terre depuis le ciel et constituent encore aujourd’hui un témoignage extraordinaire de son époque.
Der Ballonfahrtpionier Eduard Spelterini (1852-1931), mit bürgerlichem Namen Edouard Schweizer, erlangte mit der ersten Alpenüberquerung mit Start in Sitten Weltberühmtheit. Im Morgengrauen des 3. Oktobers 1898 ertönt auf dem von Schaulustigen gefüllten Plantaplatz ein «Leinen los» und der Ballon «WEGA» erhebt sich in die Lüfte. Der goldgelbe, von über 150 Sandsäcken am Boden gehaltene Ballon, legt eine Strecke von 232 km zurück und erreicht eine maximale Höhe von 6’300 Metern. Die qualitätsvollen Luftbilder, die der Ballonfahrer auf seinen verschiedenen Flügen aufnimmt, ermöglichte den Menschen erstmals, die Erde aus der Vogelperspektive zu betrachten. Sie stellen bis heute ein beeindruckendes Zeitzeugnis dar.
Eduard Spelterini (1852-1931), born Eduard Schweizer, a pioneer of hot air ballooning, became internationally famous for his first flight over the Alps, with the take-off in Sion. At the dawn of 3 October 1898, amazed onlookers gathered on the Planta Square to see cords come off and the «WEGA» airship rise in the air. The golden yellow balloon, held to the ground with more than a hundred and fifty bags, travelled 232 km and reached the maximum altitude of 6300 m. During his flights, the balloon pilot took exceptionally high-quality photographs which allowed men to see the earth from the sky for the first time. Even today they remain an extraordinary testimony of their time.
Pioniere del volo, Eduard Spelterini (1852-1931), all’anagrafe Eduard Schweizer, si è fatto conoscere mondialmente con la sua prima traversata delle Alpi partendo da Sion. All’alba del 3 ottobre 1898, sulla piazza della Planta riempita di spettatori stupiti, al grido “mollate tutto” l’aerostato “WEGA” s’innalza nel cielo. Il pallone colore giallo oro, che era tenuto al suolo da più di cento sacchi di sabbia, percorrerà 232 km e raggiungerà l’altitudine massima di 6300 m. Le fotografie di qualità eccezionale scattate dall’aeronauta durante i suoi voli permisero alla gente di vedere per la prima volta la terra dal cielo. Ancora oggi queste foto costituiscono una testimonianza straordinaria della sua epoca.
Scandale lors de la première utilisation d’une pelle mécanique à Sion ! En 1937, lors des fouilles pour la construction de l’immeuble « Les Rochers » sur la place du Midi, l’engin diabolique suscita le mécontentement des ouvriers du bâtiment, dont beaucoup étaient au chômage. Face au grondement prolétaire, le conseil communal, réuni en urgence, interdit l’emploi de cette machine « voleuse de travail ». Une interdiction générale en Valais, imposée par le Conseil d’Etat, suivit cette décision. Elle ne durera finalement que quatre mois.
Es kam zu einem regelrechten Skandal, als 1937 der erste Bagger in Sitten auffuhr. Auf der Baustelle der Liegenschaft „Les Rochers“ an der Place du Midi weckte die Höllenmaschine gewaltigen Unmut unter den von Arbeitslosigkeit geplagten Bauarbeitern. Ob dem Groll der Arbeiterschaft berief der Gemeinderat umgehend eine Dringlichkeitssitzung ein und verbot kurzum den Einsatz der „arbeitsklauenden“ Baumaschine. Diesem Entscheid folgte der Staatsrat mit einem generellen Verbot für das ganze Wallis. Nach 4 Monaten wurde dieses bereits wieder aufgehoben.
The first use of a power shovel in Sion resulted in a scandal ! In 1937, while digging ground for the construction of the building “Les Rochers » on the Place du Midi, the evil machine caused workmen discontent, as many of them were unemployed at the time. As a reaction to rising proletarian discontent, the City Council gathered urgently and forbid the use of a „job-stealing“ machine. Following this decision, a general prohibition was declared in Valais by the Conseil d‘Etat. In the end, it only last for four months.
Scandale lors de la première utilisation d’une pelle mécanique à Sion ! En 1937, lors des fouilles pour la construction de l’immeuble « Les Rochers » sur la place du Midi, l’engin diabolique suscita le mécontentement des ouvriers du bâtiment, dont beaucoup étaient au chômage. Face au grondement prolétaire, le conseil communal, réuni en urgence, interdit l’emploi de cette machine « voleuse de travail ». Une interdiction générale en Valais, imposée par le Conseil d’Etat, suivit cette décision. Elle ne durera finalement que quatre mois.
545. C’est le nombre de vies sauvées par l’« Aigle de Sion », Hermann Geiger. Avec son Piper Super Cub équipé de skis rétractables, le pilote est devenu une légende en atterrissant le premier sur un glacier, en 1952. Grâce à son audace, celui que l’on appelle le pilote des glaciers ouvre ainsi la voie du sauvetage en montagne et cofonde Air-Glaciers, un an avant son décès tragique à l’aéroport de Sion en 1966.
545 Menschenleben hat der Gletscherpilot Hermann Geiger in seiner Karriere gerettet. Der „Adler aus Sitten“ ging 1952 in die Geschichte ein, als er mit seinem Piper Super Cub mit einziehbaren Metallskis und einer speziellen Landetechnik als erster auf einem Gletscher landete. Dank seiner Kühnheit hat Geiger der professionellen Bergrettung den Weg bereitet und wurde, nur gerade ein Jahr vor seinem tragischen Tod am Flughafen von Sitten im Jahre 1966, Mitbegründer von Air-Glacier.
545. That’s how many lives were saved by Hermann Geiger, the “Eagle from Sion”. This pilot achieved legendary status when, in 1952, he became the first to touch down on a glacier in his Piper Super Cub – fitted with retractable skis. The daring exploits of the “Pilot of the Glaciers” (as he was also known) paved the way for the mountain rescue service; he co-founded the Air-Glaciers company a year before his tragic death at Sion airport in 1966.
545. C’est le nombre de vies sauvées par l’« Aigle de Sion », Hermann Geiger. Avec son Piper Super Cub équipé de skis rétractables, le pilote est devenu une légende en atterrissant le premier sur un glacier, en 1952. Grâce à son audace, celui que l’on appelle le pilote des glaciers ouvre ainsi la voie du sauvetage en montagne et cofonde Air-Glaciers, un an avant son décès tragique à l’aéroport de Sion en 1966.
La télévision débarque à Sion pour la première fois en 1958, grâce à la pugnacité de l’ingénieur Serge Michelotti. Arrivé en Valais en 1944, cet inventeur jurassien spécialisé en radio-électricité s’indigne que le Valais n’ait pas encore accès au petit écran, la faute aux montagnes élevées. Afin de capter l’émetteur romand de la Dôle (VD), il installe une station relais sur les hauteurs de Veysonnaz. Il s’agit du premier réémetteur privé de Suisse. Les Valaisans découvrent avec joie la première émission officielle de la télévision le 17 avril, sur la centaine de postes installés dans les cafés de la région.
Das Fernsehen feiert 1958 seine Premiere in Sitten und ist der Beharrlichkeit des Ingenieurs Serge Michelotti zu verdanken. Der auf Radioelektrizität spezialisierte Tüftler aus dem Jura zieht 1944 ins Wallis. Er zeigt sich empört darüber, dass das Wallis wegen seiner geographischen Lage, umgeben von hohen Gebirgsketten, noch keinen Zugang zum Fernsehen hat. Um den welschen Sender auf dem La Dôle (VD) zu empfangen, installiert er eine Relaisstation oberhalb von Veysonnaz. Dabei handelt es sich um die erste private Sendestation der Schweiz. Am 17. April ist es soweit. Mit Begeisterung führen sich die Walliser die erste offizielle Fernsehsendung vor den rund hundert, in Gasthäusern der Region installierten Geräten zu Gemüte.
Television first arrived in Sion in 1958 thanks to the pugnacity of engineer Serge Michelotti. As he came to Valais in 1944, the Jurassian maker and specialist in radio electricity is outraged that Valais does not have access to the small screen yet, due to high mountains. In order to receive the romand transmitter of La Dôle (VD), he sets up a relay station on the heights of Veysonnaz. This is the first private retransmitter in Switzerland. The Valaisans people enthusiastically discover the first official television broadcast on April 17, on the hundreds of stations installed in local cafés.
La télévision débarque à Sion pour la première fois en 1958, grâce à la pugnacité de l’ingénieur Serge Michelotti. Arrivé en Valais en 1944, cet inventeur jurassien spécialisé en radio-électricité s’indigne que le Valais n’ait pas encore accès au petit écran, la faute aux montagnes élevées. Afin de capter l’émetteur romand de la Dôle (VD), il installe une station relais sur les hauteurs de Veysonnaz. Il s’agit du premier réémetteur privé de Suisse. Les Valaisans découvrent avec joie la première émission officielle de la télévision le 17 avril, sur la centaine de postes installés dans les cafés de la région.
Une première mondiale ! A l’été 2016, deux véhicules au dessin futuriste du constructeur Navya débarquent dans les étroites ruelles de la vieille ville de Sion. La mise en circulation de ces navettes autonomes aux couleurs de CarPostal Suisse ne comportant ni volant ni pédale donne le coup d’envoi à un test inédit dans l’espace public suisse.
Eine Weltneuheit : Im Sommer 2016 erobern zwei Fahrzeuge des Herstellers Navya in futuristischem Design die engen Gassen der Altstadt von Sitten. Die Inbetriebnahme dieser autonomen Pendelbusse ohne Lenkrad und Pedale in den Farben von PostAuto Schweiz markiert den Auftakt zu einer noch nie dagewesenen Testphase im öffentlichen Raum der Schweiz.
A world first! In summer 2016, two futuristic vehicles designed by NAVYA set off on their journey through the narrow lanes of Sion’s old town. The launch of these self-driving shuttle buses in Swiss PostBus livery – with neither steering wheels nor pedals – marked the start of Switzerland’s first public trial of this novel means of transport.
Une première mondiale ! A l’été 2016, deux véhicules au dessin futuriste du constructeur Navya débarquent dans les étroites ruelles de la vieille ville de Sion. La mise en circulation de ces navettes autonomes aux couleurs de CarPostal Suisse ne comportant ni volant ni pédale donne le coup d’envoi à un test inédit dans l’espace public suisse.
En 2018, les laboratoires de l’EPFL Valais, sur le campus Energypolis, ont notamment mis au point, sous la houlette de la Professeur Wendy Queen, un nouveau matériau qui élimine les métaux lourds de l’eau : la découverte pourrait transformer la vie de millions de personnes. Le pôle de recherche EPFL Valais Wallis déploie ses activités à Sion depuis mars 2015, principalement dans les domaines de l’énergie, de la santé et de l’environnement. Le monde de demain s’invente à Sion !
Auf dem Campus Energypolis der EPFL Wallis wurde 2018 unter der Leitung von Professorin Wendy Queen ein neuartiges Material entwickelt, das Schwermetalle im Wasser zu eliminieren vermag: Eine Entdeckung, die das Leben von Millionen von Menschen verändern könnte. Das Forschungszentrum der EPFL in Sitten ist seit März 2015 in Betrieb. Die Forschungstätigkeit des Campus widmet sich in erster Linie den Bereichen Energie, Gesundheit und Umwelt. Hier entsteht die Welt von Morgen!
In 2018, under the leadership of Professor Wendy Queen, the laboratories on the Energypolis campus of the Valais arm of the Swiss Federal Institute of Technology in Lausanne (EPFL) perfected a remarkable new material that removes heavy metals from water: a discovery that could transform the lives of millions of people. The EPFL Valais Wallis Research Centre began operating in Sion in March 2015, with the focus on energy, health and the environment. Tomorrow’s world is being invented in Sion!
En 2018, les laboratoires de l’EPFL Valais, sur le campus Energypolis, ont notamment mis au point, sous la houlette de la Professeur Wendy Queen, un nouveau matériau qui élimine les métaux lourds de l’eau : la découverte pourrait transformer la vie de millions de personnes. Le pôle de recherche EPFL Valais Wallis déploie ses activités à Sion depuis mars 2015, principalement dans les domaines de l’énergie, de la santé et de l’environnement. Le monde de demain s’invente à Sion !